Au Japon, une figure historique singulière appelée Heoibikuni a occupé un rôle tout à fait inhabituel. Son travail consistait à être la "farteuse" désignée, prenant la responsabilité des flatulences des femmes riches.
Cette curiosité remonte à une époque où le protocole social et l'étiquette étaient d'une importance capitale. Les femmes de la noblesse ou de la haute société japonaise considéraient que l'émission de gaz était socialement inacceptable, mais inévitable. Ainsi, une Heoibikuni était embauchée spécifiquement pour prendre le blâme à leur place, préservant ainsi leur réputation immaculée.
C'était une occupation inusitée et quelque peu méconnue, témoignant des normes sociales distinctes de l'époque. L'Heoibikuni était souvent une employée discrète, servant fidèlement et assumant ce rôle particulier pour éviter l'embarras de ses employeuses.
Cependant, ce fait historique peut sembler étonnant à notre époque moderne, où les attitudes envers la bienséance et les rôles sociaux ont considérablement évolué. Il offre cependant un aperçu captivant des coutumes et des attentes sociales d'une époque révolue au Japon.
Cette anecdote fascinante souligne à quel point les normes sociales peuvent façonner des rôles et des responsabilités surprenants, reflétant ainsi l'étrangeté et la richesse de l'histoire et de la culture japonaises.
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